Paolo reste pour moi un modèle de l’élégance italienne et de l’intelligence européenne. On lui a reproché souvent de ne pas écrire. Mais il n’avait pas besoin d’écrire : sa parole vive, socratique, suffisait. Je peux le dire d’autant mieux que j’ai fait le choix inverse.
François Jullien
Philosophe, helléniste et sinologue
Chair sur l’altérité, Fondation Maison des Sciences de l’Homme